Une formation organisée du 15 au 16 Novembre 2022 par le réseau des journalistes sur les statistiques du genre et les ODD à son siège à Yaoundé.

De prime abord, cette formation est organisée dans l’optique de l’initiation au data journalism et les données sur le genre. En effet, depuis 2019, le gouvernement camerounais s’est engagé avec l’appui de l’ONU-femmes à améliorer la disponibilité des statistiques de genre et les statistiques désagrégées par sexe dans le système national. Afin d’accompagner l’Etat à atteindre son objectif réel de recherche d’informations sur les statistiques et les données sur le genre qui subit la violence et injustice au quotidien dans notre société, le réseau des journalistes s’engage à former les journalistes , des professionels de médias et etudiants des ecoles de journalisme pour produire des informations fiables à cet effet.

Le but est d’aider ces professionnels de médias à comprendre et à fournir au grand public les informations de précision sur les données de genre. Car il se nourrit aujourd’hui beaucoup plus à la violence de l’autre, c’est pourquoi ces professionnels ont un role très importance à jouer dans le partage des bonnes informlations au grand public.

Ils doivent s’assurer lors de la diffusion des informations et des données qualitatives quelles répondrent aux incompréhensions de la population. Mais, il se pourrait qu’ils produisent souvent des données inappropriées, des contenus biaisés et erronés reposant toujours pas aux éléments factuels.

Je dois dire que la violence quelle qu’en soit sa forme doit être abordée avec beaucoup d’attention et exactitude.

Ces series de formation proposent d’apporter des element de reponse à travers des echanges sur les technique innovantes et outlis pour l’eleboration des bonnes informations.  cependant, lors de cette session, les experts ont abordé la notion de vérification des faits dans laquelle, un journaliste doit etre un acteur principal de la lutter contre les fausses informations qui rodent autour et font l’optique de sabotage de l’enquêtes, c’est-à-dire qu’ils doivent utiliser des moyens pour contredire ces faussetés en se basant d’une part sur le TIC et d’autre part d’aller sur le terrain afin d’écouter la version des faits de la victime ou des témoignes afin de confronter les sources pour d’élucider l’opinion publique.

 Mots clés/data journalism/data gender/violence sur le genre/