Compte tenue des flux d’informations qui circulent sur les réseaux sociaux, les organisations de la société civile ne seront indifférentes de consentir leurs efforts à combattre ces informations fallacieuses et porteuses des germes de violence chez les utilisateurs que l’on définit d’infodemie. 

Une maladie se propage tel comme un virus dans les médias sociaux. Cette maladie connue comme la désinformation, la mal information et la sous information. Elle se nourrit des rumeurs de nos quartiers, des potins de nos salons de coiffure, et par-dessus tout, elle se nourrit autours du feu de nos soirées, elle est imaginaire, elle se propage vite comme le feu d’un pneu. Les hommes se sont accrochés aux contours fallacieux qui battent les recours de nos désirs imaginaires. Cependant, le combat acharné contre elle ne pas un fleuve tranquille d’où les organisations, envie de voir une évolution du monde sans déchirure des communautés, elles se donnent corps et âmes pour éradiquer cette pandémie qui n’arrête de polluer nos valeurs culturelles, us et coutumes. De ce qui précède, une solution est proposée de former les ambassadeurs qui défendront la cause humanitaire, qui propageront des messages de paix auprès de leur communauté pour mieux intensifier la lutte contre ces mal informations et les discours de haine.

L’association pour l’éducation à la citoyenneté numérique (DigiEduCivic), fait entendre sa voix à travers son objectif de former plus des jeunes sur la citoyenneté numérique. D’où elle déploie ses ressources en organisant en prélude de la clôture de ses activités de campagne « vacance numérique », un atelier de formation des « pairs éducateurs en éducation aux médias et à l’information sur le bon usage des médias sociaux » était prévu à cet effet. Cette formation visait à élargir le champ d’action de l’éducation aux médias et à l’information en milieu communautaire. Ainsi, envie de savoir que le bon utilisation des médias sociaux soit une pièce maîtresse, elle cible les jeunes à l’accompagner à combattre les fausses informations qui circulent selon la variété, la vélocité et le volume définie comme facteurs  des infox qui sous une appellation de GAFAM (Google-Apple-Facebook-Amazon-Microsoft) qui sont des médias sociaux qui génèrent plus des flux des fausses informations en ligne.  

Par ailleurs, l’homme doit savoir que le temps est venu de déceler les pièges et créer son propre chemin en choisissant le bien ou le mal, soit en rejoignant le groupe des soldats de défenseur, soit le groupe des soldats des demandeurs.  Car les organisations de la société civile accompagnées par le gouvernement avec ses armeries, seront les vainqueurs de cette bataille. C’est à chacun de définir son choix car choisir c’est choisir, il n’y a pas choisi deux fois, pour moi j’ai envie de dire que ce sont nos choix qui définissent qui nous sommes .

En fin, il a été rappelé dans le cadre de cet atelier que le socle de l’EMI, dans sa conception, fait référence au parcours citoyen en particulier, sans exclure pour autant les autres parcours et doit être un appui majeur aussi à la maitrise des langages informatiques pour nos jeunes afin de valoriser l’énergie collectives des ambassadeurs de l’éducations aux médias et à l’information. 

Mots cles/EMI/OSCs/Atelier de formation/mal information/fausses informations/GAFAM/infodemie/discours de haine/DigiEduCivic2022.