Formation en Alphabétisation numérique et la citoyenneté numérique
Association actions sans limite pour le développement en partenariat avec digital right access association mettent en lumière les jeunes appelés du service civique de la cuvée 2022 MINJEC-Adamaoua.
C’est dans le cadre du programme national mon univers digital soutenue par Méta. Digital right access partenaire à cet événement de former 6000 jeunes camerounais sur l’analphabétisation numérique marque un point en déployant jusqu’à Ngaoundere ses soldats de formateur pour atteindre l’objectif national. Compte tenue aussi du projet initié par le partenaire locale actions sans limite pour le développement «vacance numerique» dont son objectif est de former les jeunes vacanciers de la ville de Ngaoundere sur la citoyenneté numérique. C’est ainsi que ces deux associations entrent en collaboration pour cette séance de formation sous le thème : « alphabétisation numérique et la citoyenneté numérique ».
La séance bat son plein record sur l’identité numérique, la E-réputation et la responsabilité d’un bon citoyen. Une identité numérique d’un jeune sont des traces numériques qu’il laisse sur l’internet. Une fois laissées, un fil des navigations seront collectées par les moteurs de recherche, comme Google, et sont rendues public. Une identité numérique, ou IDN, peut être: un pseudo, un nom, des images, des vidéos, des adresses IP, des favoris, des commentaires etc. Cette identité sur internet a donc une influence sur sa e-réputation. En résumé, l’identité numérique est l’image que nous renvoyons sur internet, notre image virtuelle, dématérialisée.
Cette identité virtuelle se crée par le biais des réseaux sociaux, comme Facebook ou Twitter C’est pour cette raison qu’il est préférable de bien réfléchir avant de laisser une trace numérique afin d’éviter toutes les conséquences négatives d’une mauvaise e-réputation qui pourrait engager la responsabilité d’un citoyen. Mais l’on pourrait utiliser les réseaux sociaux pour impacter positivement afin d’être un bon exemple pour les autres s’il utilise ces réseaux sociaux dans le respect.
Est-il possible d’utiliser les réseaux sociaux dans le respect ? les fausses informations ont pris d’assaut les réseaux sociaux, mais un jeune souciant ne pourrait voir sa position extrême. Depuis des mois, la désagréable sensation que les réseaux sociaux ne nourrissent plus le débat mais la surenchère, la haine, le racisme, la paranoïa et notre égo. Le respect pour moi se d’avoir la tête haute, prendre des reculs sur une question, ne pas relayer une information tant qu’elle n’est pas vérifiée et sourcée, ne pas publier quand nous ne sommes pas capables de tenir le même discours en public, ne pas publier des contenus qui pourraient nous blesser si nous en étions la victime, Poser des questions de savoir pourquoi je publie, critiquer mais pour construire ; Poser des questions de savoir ce que je veux comme société ; Publier pour diffuser de la connaissance et une certaine idée du Bien.
Il faut 10 minutes pour désinformer et des années pour réparer les dégâts. Trop des informations fumeuses, haineuses, racistes ou simplement non vérifiées sont véhiculées sur les réseaux sociaux et c’est nous-mêmes qui créions les conditions de l’instabilité de notre société.
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