Le contexte du programme

 Depuis Mars 2022, paru sur les réseaux sociaux l’appel à candidature de la 6eme cohorte de Africa Fact-checking Fellowship spécial Grand-Nord qui vise à promouvoir la vérification des faits. Ce programme est parti pour trois mois dans la mesure de doter les boursiers des compétences et des outils nécessaires pour relever les défis actuels de la diffusion de fausses nouvelles dans leurs régions.

Précédé par cet effet, cinq cohortes ; regroupant des professionnels du Sud-Ouest, du Nord-Ouest, du Littoral, du Centre, du Nord, de l’Extrême-Nord et de l’Ouest.

Cependant, plus de 53 professionnels de la vérification des faits en ligne et de la détection des discours de haine ont été formés dans le cadre de l’#AFFCameroon avec l’assistance technique d’ADISI-Cameroun par l’intermédiaire de sa sous-structure www.data-cameroun.com. Souciant de ses informations erronées, des manipulations publicitaires, suscitant de la haine, le programme est délégué spécialement au grand-nord pour former les professionnels des médias afin de barrer la voix à ces fléaux.

Objectif de #AFFCameroon

Africa Fact-checking est une bouse qui a été conçue pour suivre et cartographier les tendances virales sur les médias sociaux liés aux grandes questions thématiques au Cameroun. Il s’agit également de sélectionner des futurs formateurs, vise donc à mettre en place des professionnels chevronnés sur le terrain. Il est basé sur un modèle d’apprentissage mixte qui utilise des webinaires, des leçons pratiques, l’apprentissage entre pairs et le travail pratique sur le terrain. Les boursiers auront accès à un riche ensemble d’outils et de ressources en ligne ainsi qu’à un réseau d’experts et de professionnels du monde entier.

Créer une masse critique de vérificateurs de faits, des combattants de la désinformation, de discours de haine en ligne et hors ligne, et de défenseurs des droits numériques dans cette partie du Cameroun.

La liberté d’expression qu’offre l’internet sur les différentes plateformes, les flux des partages des informations, la gratuité d’internet sont autant des privilèges pour les internautes de trouver une raison pour intensifie largement l’opinion générale sur réseaux sociaux.

Séance #AFFCameroon spécial Grand-Nord

Les contextes sont parus aux boursiers par courriers électronique afin de s’en briefer des contenus des séances en présentiel avec les experts chevronnés en data journalisme, fact-cheking à un rendez-vous. Cependant, shalom city hotel est loge ou je dois dire la maison d’accueil dans la ville de Garoua, où s’est tenu les séance d’avril, mai et juin avec 15 boursiers accompagnés par les encadreurs venus depuis Yaoundé pour donner les rudiments et outiller les journalistes et membre de la société civile dans les techniques des recherches des faits. De même, la première séance était à la prise des connaissances du programme débutée par les seances de présentation des boursiers et la présentation du programme par le manager pays de #defyharenow monsieur Ngala Desmond et le commuty manager Donald Tchingue. Le bâton de la formation proprement dite était remis à l’expert chevronné Paul Joel KAMTCHANG/ADISI-Cameroun.

Après les séances de présentations, les boursiers sont attentionnés par les définitions des mots clés, le concept de l’internet et les réseaux sociaux au Cameroun, les missions de l’internet et la différence entre le media social (non inchangeable) et les réseaux sociaux (interchangeables). Ici, l’expression sont connus mais le plus difficile était pour les boursiers de comprendre la réelle fonctionnalité et la découverte de certain langage numérique. Le temps était venu pour l’expert de plonger les torpilles afin de créer le chemin du succès, c’est ainsi que surgit la notion de viralité de publication d’une fausse information en ligne. Parce que pour fact-cheker ou dénicher un fake il faut tout d’abord respecter les trois conditions d’un bon article du fact-checking : il faut se poser des questions si elle a été publier, si elle a été virale et savoir quel impact cette publication c’est-à-dire l’intérêt social que vise cette publication. Ici la viralité de la publication peut être mesurée par la vitesse de partage, like et le commentaire, soit mesurée par une personnalité publique de l’auteur de cette publication.

Quelques mots dans le langage du fact-cheking

Fact-cheking : la recherche des faits

Mésinformation : une erreur sans intension

Fakes news : une information dont l’objectif est de manipuler l’opinion publique

Fausses informations : une information dont la source ne pas vraie

Intox ou infox : fausse information délivrée en connaissance des causes

Désintox : traitement contre les fausses informations

Datajournalisme : forme de journalisme dont la preuve est rapportée par statistique

Debounque : démystifier

Les vérifications des faits

Déprime abord, le bateau est en marche, les professionnels en herbe commence déjà à comprendre l’importance de cette formation car un bien public est la chose la plus partager.  Pour ce premier pas affranchi quand les journalistes se trouve en train de parler de la méthodologie d’un article, je me suis vu exceller dans ce carrier en tant que membre de la société civile, je me suis vu braver une autre expérience professionnelle qui ne pas le mien. J’étais vraiment ému de la façon dont l’expert nous expliquait car pour lui sont objectif était de rendre professionnel tous les boursiers, il se souciait de notre position qui ne pas journaliste, il nous expliquait pas à pas selon les règles de l’art journalistique. Cependant, du cout on s’est vu intéresser par le métier du journaliste qui est le 4eme pourvoir dont nous avons donné raison sur le rôle que joue un journaliste dans la recherche des faits.

Abracadabra, je me suis lancé dans les exercices que donnait l’expert en salle de formation qui est de recherche les fakes, de comment on doit les distinguer à travers des outils numérique (smallseotools qui est un moteur de recherche spécialement dans les fakes news, le plagia, la rédaction des articles etc… ce plateforme regroupe trois moteur de recherche tels que Google, Yandex (moteur de recherche Russe), Being (moteur de recherche Chinois) qui font le travail à merveille de recherche ; Google heart et google street). Tout à fait, nous nous sommes créer des chemins à travers ces différents porte magnétique socratique qui nous ont permis de dénicher, démystifier et rapporter des preuves contraires. Cette formation dans le fact-cheking ne visait pas seulement à rechercher les faits mais après cette étape affranchie, il revenait au boursier de rédiger des articles pour prouver que les faits rechercher sont fausses et prouver comment nous avons procéder à démystifier ce fait qui pollue la toile. Ainsi, merveilleux que soit les rechercher, cette formation nous a permis de comprendre combien de fois le métier du journalisme ne pas seulement de présenter les émissions à la TV et radio, mais de rédiger les articles pour démystifier un fait. les  résultats étaient satisfaisant quand les boursiers ont écrits sur l’affaire du Lamido de Garoua dans le meurtre de son neveu (ici) et la région de l’Adamaoua sur les explosifs saisis à Ngaoundéré (ici) ; sur le tueur de 07 personnes à Belel (ici ); et un article sur l’affaire qu’un enseignant a enceinté ses élèves. à lire (ici). Ces articles en les lissants vous découvrirais les réalités de chaque affaire et des accusations proférées à l’encontre de ces personnes.

Par ailleurs Apres cette position de contrer les fakes news à travers une preuve concret, l’expert ne s’est pas lasser de nous transporter vers une nouvelle aventure qui est le Social Media Heath report qui consiste à démonter comment les réseaux sociaux ont impactés la vie sociale c’est-à-dire grâce aux multiples des publications sur un fait marquant sur les réseaux sociaux, il y a eu changement par exemple les boursiers de la ville de Ngaoundéré ont rédiger sur l’affaire de OUSMANOU HAROUNA, l’étudiant major de sa promotion depuis le niveau 1 n’a pas été sélectionné en Master 2 à la faculté des sciences juridiques et politique de l’université de Ngaoundéré. Par après il y a eu des polémiques sur les réseaux sociaux concernant cette affaire, mais l’université a fini par le sélectionné. Par ailleurs, les réseaux sociaux sont d’autant positifs que négatif.

De tout ce qui précède, bien que les journalistes ce sont retrouvés dans leur peau lors de cette formation, mais la méthodologie d’un article de fact-cheking ne répondais pas tout à fait au même article qu’ils ont habitudes de produire lors de leurs émissions dont je vous propose l’intégralité (ici). Il fallait encore apprendre comment ils doivent aborder cet article qui d’ailleurs vient renforcer leur professionnalisme dans le domaine, bien encore d’autre finirons par remercier le formateur par ce langage « Paul Joel a changé ma vie »

Dernière rencontre du programme

En dépit de tout ce parcours de trois mois avec l’équipe #defyhatenow et son consultant monsieur le formateur, nous nous sommes rendus compte que notre façon de gérer nos différentes pages sur les réseaux sociaux ont changer la donne. Nous avons activé nos veilles digitales des recherches des fausses informations et des fakes news qui circulent dans nos trois régions du grand-nord, nous avons rempli les attentes de #defyhatenow qui était de former les professionnels de médias et des membres de la société civile afin de mettre hors du gouffre les discours haineux et de barrer la voie aux fakes news à travers des articles de fact-checking. Des décentes vers la population et les détracteurs pour des sensibilisations sur les dangers des fausses informations et le radicalisme en milieu communautaire.

Nous avons appris à produire par nous même les articles de fact-cheking d’utiliser les outils numériques pour démystifier les faits. Car l’objectif du formateur était de nous faire intégrer dans le monde professionnel de vérification des faits, de voir dans le septentrion les journalistes et membre de la société civile capable de produire des articles sur les fakes qui circulent dans leur milieu.

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